"Nous avons enquêté dans un certain nombre d’écoles où des faits de violence très graves commis parfois par des élèves jeunes sont étouffés et où les enseignants, visiblement, ont beaucoup de difficultés à obtenir des sanctions. Entre l’administration qui ne veut surtout pas de vagues et les familles qui, au lieu de réprimer leurs enfants violents, ont plutôt tendance à les défendre. Et puis ce dossier se conclut par une longue interview de Jean-Pierre Chevènement, qui fut ministre de l’Intérieur et à qui l’on doit d’ailleurs le terme « sauvageon » qui est un petit peu repris et aujourd’hui transformé. Sa parole est rare, il publie un livre, et une longue interview. Et sa conclusion est la suivante : on ne combat pas la violence avec de l’angélisme." Par Nicolas Bastuck, journaliste au Point.
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