Ce "traumatisme" de Brigitte Bardot après la naissance de son fils Nicolas.
Le 11 janvier 1960, Brigitte Bardot aurait
dû vivre le plus beau jour de sa vie. .
Ce jour-là, elle donnait naissance
à son fils, Nicolas. .
Seulement, elle n’a pas eu l’impression de vivre
la rencontre de sa vie en découvrant son fils
pour la première fois.
Quand Nicolas est né, en 1960, l’hystérie autour de moi… C’était de la folie.
La chambre d’accouchement installée dans ma maison, les photographes derrière les fenêtres, ceux qui se déguisaient en médecin pour me surprendre.
Il n’y avait aucune intimité, Brigitte Bardot .
C’est pour toutes ces raisons que pour elle,
son accouchement a simplement été "terrible". .
J’ai associé la naissance de mon fils à ce traumatisme.
Et c’est Nicolas qui en a porté les conséquences, Brigitte Bardot .
C’est sans doute pour cette raison
qu’elle n’a jamais eu la fibre maternelle,
comme elle le dit elle-même.
C’était comme une tumeur qui s’était nourrie de moi, que j’avais portée dans ma chair tuméfiée, n’attendant que le moment béni où l’on m’en débarrasserait enfin. Le cauchemar arrivé à son paroxysme, il fallait que j’assume à vie l’objet de mon malheur, Brigitte Bardot dans Initiales B.B. (éd. Grasset).
Des propos qui avaient fait polémique
au moment de sa sortie.
Pour autant, si elle en avait l’opportunité,
elle ne changerait rien du tout. .
Même si elle reconnaît que la célébrité est parfois un poids à porter, pour elle, ça a toujours été un énorme atout. .
Sans elle, je ne pourrais pas faire grand chose aujourd’hui pour les animaux, Brigitte Bardot