Le parquet de Paris a annoncé vendredi 10 juillet enquêter sur des fraudes « massives » au chômage partiel, impliquant des « flux financiers internationaux », qui ont occasionné « plus de 1,7 million d’euros » de préjudice. Selon un communiqué du parquet, « les demandes frauduleuses de versement d’indemnités se faisaient par télédéclaration en usurpant la raison sociale et le numéro d’identification siret d’entreprises existantes qui ne demandaient pas à bénéficier des aides à l’activité partielle ».