En plus des effectifs des polices nationales et municipales, qui arpentent au quotidien les rues, un escadron de 130 CRS est arrivé ce lundi pour faire appliquer un arrêté préfectoral qui a du mal à être respecté à Marseille.
"Il y a des difficultés à faire appliquer le port du masque, reconnait Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement. Mais je ne suis pas là pour donner des leçons de morale. Je me mets aussi à la place des Français à qui on a expliqué durant la première partie de l’épidémie que le masque n’était pas utile face à l’épidémie. Aujourd’hui, on leur dit que celui-ci est utile, nécessaire et obligatoire. Je comprends que ce soit difficile à comprendre. Mais l’état des connaissances a évolué et on considère aujourd’hui que c’est une barrière face à l’épidémie."