Entre milléniaux, nés à l’orée des années 2000, et baby-boomers, enfants gâtés du consumérisme, le torchon brûle. Le confinement, obligeant les jeunes actifs à une retraite forcée, aura épargné des vies mais aggravé la situation économique sur tous les fronts. De quoi faire réagir une jeunesse précarisée, avide de changements. Du côté du troisième âge, on regrette l’insouciance de ces jeunes trublions, sortis trop vite des interdits du confinement au risque de voir l’épidémie repartir de plus belle.