La justice suisse peut-elle mettre en examen trois personnes et une banque et continuer d’épargner l’homme qui est au centre d’une procédure pour « blanchiment aggravé » ? À savoir l’ancien roi Juan Carlos, qui a quitté l’Espagne cette semaine pour « sauver la monarchie ».
Le procureur genevois Yves Bertossa reste convaincu que les 100 millions de dollars versés en 2008 par l’Arabie saoudite au souverain espagnol sont liés à l’attribution d’une ligne à grande vitesse entre Médine et La Mecque à des entreprises espagnoles.