7 projets d’entreprises sur 10 échouent en raison d’une mauvaise prise en compte du facteur humain selon une enquête de 2015.
Pendant longtemps, les émotions étaient perçues comme une faiblesse et devaient rester extérieures au monde du travail.
Seule l’intelligence intellectuelle était valorisée en entreprise.
Pourtant, la gestion des émotions permet aujourd’hui de faire la différence.
Les émotions jouent un rôle déterminant dans les performances humaines.
Elles correspondent
aux « soft skills »
(compétences
douces).
Selon Daniel Goleman, (psychologue américain
pionnier de la psychologie positive) l’intelligence émotionnelle se caractérise par :
1. La conscience de soi
2. La maîtrise de soi
3. La motivation interne
4. L’empathie
5. L’interaction sociale.
Elle se traduit par la capacité :
- à évaluer et exprimer ses émotions,
- à les réguler par rapport à celles des autres,
- à les utiliser de manière efficace pour guider sa pensée et ses actions.
L’intelligence émotionnelle peut donc devenir un atout remarquable sur le marché du travail.
Au niveau collectif, elle permet d’améliorer les interactions entre les collaborateurs (communication, bonne ambiance et cohésion d’équipe).
Elle constitue également une clé du succès pour un manager.
Cette compétence sociale et comportementale permet d’adopter une stratégie managériale humaine favorisant alors l’engagement et le bien-être des collaborateurs.