Aujourd’hui absent de l’audience londonienne au cours de laquelle la justice britannique doit se prononcer sur l’extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis, où il risque 175 ans de prison, Eric Dupond-Moretti dressait il y a quelques mois le portrait d’un homme « prostré, avec de difficultés à s’exprimer », victime de « torture psychologique prolongée » et dont l’extradition constituerait un dangereux précédent pour la liberté d’expression.
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