Après la candidate Martine Vassal, c’est au tour de Samia Ghali, qui a permis à Michèle Rubirola de faire basculer Marseille à gauche, d’intéresser les autorités. Selon les informations que révèle « La Provence » lundi 6 juillet, la sénatrice de gauche aurait pu bénéficier de procurations suspectes à l’occasion des municipales. Plus précisément, un signalement aurait été émis et envoyé il y a environ quinze jours à la brigade financière de la police judiciaire. Le signalement auprès de la brigade financière de la police judiciaire « pointe du doigt plusieurs dizaines de procurations validées en infraction au code électoral au bénéfice de madame Ghali », désormais seconde adjointe à la mairie de Marseille.